Un épisode sur le podcast comme espace d’expression, sur l’évolution personnelle, et sur l’importance de respirer, de dire, de laisser une trace. Parce qu’on change un peu à chaque fois qu’on prend la parole… et à chaque respiration.

Tu connais le classique “fuis-moi je te suis” ? Dans cet épisode, on parle des rôles d’évitant et d’anxieux, des stratégies bancales, des émotions planquées… et de ce qui se cache vraiment derrière tout ça. Sans prise de tête, juste un moment pour réfléchir, souffler, et peut-être voir les choses autrement.

On parle souvent de colères à libérer, de blessures à guérir, d’émotions à “travailler”. Mais à quel moment on s’arrête ? Et si on avait aussi… de la joie bloquée ? Du fun censuré ? Dans cet épisode, je questionne le business du bien-être, les injonctions à l’alignement, et je t’invite à retrouver ta légèreté. Sans justification. Juste pour le kiff.

Dans cet épisode, je parle de ces relations où l’on se fond dans l’autre, jusqu’à s’oublier.
Quand le “nous” devient refuge, mais finit par étouffer.
Et si on aimait sans se confondre ?

TSA, TDAH, HPI, HPE… Et si on arrêtait de se résumer à des initiales ?

Dans cet épisode indiscipliné, je vous parle de ce besoin de mettre des mots sur ce qui déborde, de ce que ça fait d’être “trop”, “compliquée”, ou “pas comme les autres”.

Je questionne les étiquettes, les diagnostics à la va-vite, le business de la guérison — et surtout, le droit d’exister sans mode d’emploi.

Pas de fiche technique. Juste un partage depuis moi.

Mes extrêmes. Mes contradictions.

Et cette certitude : on est tous plus qu'un acronyme.

Un épisode qui sent la cave berlinoise, le cuir noir, la sueur froide et la tendresse brute.

Je t’embarque dans mes souvenirs de nuits en Europe de l’Est, là où la techno devient un langage, un refuge, un lieu de transformation.

Je parle de danse, de BDSM, de sécurité, d’histoire, de mémoire familiale et de liberté.

Un voyage intérieur — entre basses profondes, héritages lourds et désirs assumés.

Dans cet épisode, je te parle d’un piège dans lequel on tombe tou·te·s à un moment ou un autre : confondre l’amour avec l’attachement. Ce que j’ai longtemps pris pour de l’amour, c’était en réalité un besoin de combler un vide intérieur.

Je te raconte comment j’ai réalisé ça, ce que ça a changé dans ma façon de vivre mes relations, et pourquoi ça m’a littéralement libérée.

Si t’as déjà eu l’impression de t’accrocher à quelqu’un même quand tu souffrais, si tu t’es déjà demandé pourquoi c’était si dur de “lâcher prise” : écoute cet épisode.

Dans cet épisode, je parle des rôles qu’on joue dans la vie, parfois sans s’en rendre compte.
Je partage aussi une histoire perso autour de certaines amitiés féminines compliquées… et de ce que j’ai enfin osé faire pour changer les choses.

On parle de lumière, d’ombre, et de comment on peut réécrire notre propre scénario.

Parce qu’on est tous des boules à facettes, et qu’on apprend chaque jour à danser avec la lumière.