Présentatrice des bulletins météos de TF1 depuis 1991, Evelyne Dhéliat a été aux premières loges de tous les événements météorologiques des dernières décennies. Ce qui lui a permis d’observer les effets du réchauffement climatique, une thématique sur laquelle elle revient dans Newsroom, le podcast des invités de la rédaction de Ouest-France.

Dans Newsroom, Alain Chamfort revient sur la parution de son livre d’entretiens Temps Forts, né en parallèle de la sortie d’un nouveau best of. Un ouvrage qui lui permet de retracer son parcours album par album, d’expliquer les choix artistiques, les rencontres décisives et les périodes qui ont façonné sa carrière.

Invité de Newsroom, Bertrand Belin revient sur la manière dont Watt s’est construit, presque en retrait, avec l’envie de laisser plus d’espace aux mots et au silence. Il explique comment ce disque l’a amené à revoir sa façon de composer, en privilégiant la souplesse et l’épure. L’entretien glisse aussi vers la scène, où il cherche toujours à garder de l’air et de l’imprévu. Et, comme souvent, la Bretagne n’est jamais bien loin dans ce qu’il raconte, qu’il s’agisse d’un souvenir ou d’une façon d’être au monde.

C’est une voix qui va marquer les week-ends des fans de biathlon tout au long de l’hiver. Messaoud Benterki, sera une nouvelle fois aux manettes des retransmissions des étapes de la Coupe du monde de biathlon sur la chaîne L’Équipe. Un moment toujours très attendu par le journaliste de 50 ans qui a « un vrai lien affectif très très fort avec ce sport ».

Tout au long d’un entretien qu’il a accordé à Ouest-France, Messaoud Benterki nous en dit plus sur cette nouvelle saison de biathlon. Il a également pris le temps de revenir sur sa carrière débutée il y a 30 ans et marquée par sa première passion, le football. Itinéraire d'un passionné, et d'un passionnant journaliste.

Régis Loisel, figure incontournable de la bande dessinée française, est venu présenter La Dernière Maison juste avant la forêt, son nouvel album disponible le 19 novembre en librairie. L’auteur de La Quête de l’Oiseau du Temps et de Peter Pan y signe une histoire volontairement décalée, pleine de personnages étonnants et de situations imprévisibles.

Au micro d’Ouest-France, il revient sur la façon dont il a construit ce récit foisonnant avec Jean-Blaise Djian, sur son plaisir de travailler sans contraintes, et sur la liberté qui continue de guider son travail après plusieurs décennies de carrière.

Mathieu Bablet était de passage à la rédaction d’Ouest-France pour parler de Silent Jenny, sa nouvelle bande dessinée sortie ce mercredi 15 octobre. Avec ce livre, l’auteur de Shangri-La et Carbone & Silicium termine une trilogie de science-fiction entamée il y a près de dix ans.

Dans cet entretien, il raconte la manière dont il a imaginé ce dernier volet, plus intime, plus centré sur la reconstruction que sur la destruction. Silent Jenny suit une jeune femme dans un monde dévasté, où il est encore possible de bâtir quelque chose de nouveau. Loin des grands récits de "space opera", Bablet y parle surtout d’humains, de transmission et de la difficulté de trouver sa place.

Il revient aussi sur sa façon de travailler, sur la liberté que lui laisse le label 619 et sur l’importance du temps long dans la création. L’occasion d’évoquer un parcours singulier dans la BD française, entre rigueur du dessin et regard lucide sur le monde d’aujourd’hui.

À l’occasion de la sortie du film Yoroï, en salles ce mercredi 29 octobre, Orelsan est venu rencontrer la rédaction de Ouest-France. Dans le podcast Newsroom, le rappeur normand se confie au micro de Philippe Lemoine.

Co-écrit avec le réalisateur David Tomaszewski, Orelsan y joue son propre rôle : celui d’un artiste en plein burn-out, parti vivre au Japon avec sa femme, avant de se retrouver prisonnier d’une armure hantée par des monstres issus de la mythologie japonaise.

Le chanteur raconte la genèse du projet, son goût pour la culture nippone et son intérêt pour les Yokaï, ces esprits japonais qui symbolisent les peurs humaines. L’artiste y voit une métaphore contemporaine, celle de nos angoisses modernes : réseaux sociaux, pression de la célébrité, peur de la paternité, qu’il transforme en fiction pour mieux en rire et les exorciser.

Orelsan revient aussi sur son lien fort avec Caen, sa ville natale, où il vit toujours. Fidèle à la Normandie, il continue d’y écrire, d’y tourner et d’y lancer ses projets. Il débutera sa tournée monumentale en 2026 au Zénith de Caen avant d'enchaîner avec 10 concerts à l’Accor Arena de Paris. Un attachement qu’il revendique comme une façon de garder les pieds sur terre.