À l’occasion de la Journée de la malbouffe, Dominic, Ingrid et Maïka discutent avec humour de leurs plaisirs coupables avant d’aborder un sujet grave : la sécurité et la relation à la nourriture.

Ingrid partage le récit poignant d’une femme droguée au GHB dans un restaurant, soulignant l’importance d’éduquer nos enfants au respect et à la vigilance.

L’équipe dénonce aussi l’impact des deepfakes, ciblant notamment la docteure Isabelle Huot et le Dr François Marquis, créant confusion et colère. Maïka témoigne de son expérience d’usurpation d’identité, un fléau numérique inquiétant.

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Aujourd'hui dans Les Lève-Tôt, les émotions sont à fleur de peau.

Dominic Arpin partage une perte profondément personnelle: l’église de son village natal, Saint-Ours, est partie en fumée.

C’est là qu’il a appris à parler en public, en lisant les textes à la messe. Au-delà du bâtiment, c’est tout un pan de mémoire collective qui s’effondre.

Changement de ton avec une histoire qui secoue les réseaux sociaux: un câlin capté par la «Kiss Cam» lors d’un concert de Coldplay vire au scandale viral. Le PDG filmé enlaçant une collègue… qui n’est pas sa femme. Malaise en direct, réactions de Chris Martin, et une question qui dérange: pourquoi est-il si difficile d’assumer ce que l’on ressent vraiment?

Enfin, Tatiana fait ses adieux temporaires avec tendresse et humour. Muffins au chocolat, petit rôti maison, et grande déclaration d’amitié pour ses co-animateurs. Des liens sincères se tissent à micro ouvert… et les auditeurs sont aussi touchés que nous.

Un épisode riche en émotions, entre feu, faux pas… et affection.

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Dans cet épisode percutant des Lève-Tôt, Ingrid, on plonge dans deux discussions aussi intimes qu'universelles.

D’abord, une révélation inattendue de Dominic sur ses cheveux gris lance une réflexion sur le vieillissement, l’image, et les doubles standards entre hommes et femmes.

Le geste de Salma Hayek d’assumer ses cheveux argentés devient le point de départ d’un échange vrai, vulnérable et parfois inconfortable.

Entre pressions sociales, envies personnelles et contradictions, chacun partage son rapport à l’apparence et au temps qui passe.

Puis, le trio aborde un sujet délicat : le fameux «body count». Une auditrice brise la glace en révélant le nombre de partenaires qu’elle a eus… et les réactions fusent.

Jusqu’où faut-il aller dans la transparence amoureuse? Ce chiffre est-il vraiment important, ou un piège à jugements?

Entre confidences, malaise assumé et réflexions franches, ce balado explore ce que l’on choisit de montrer, de cacher… ou de revendiquer. Parce que parfois, les vraies discussions commencent là où le confort s’arrête.

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