Episodes

  • (EXTRAIT) Françoise Vergès ressent la force d'aspiration à la liberté, partout, toujours
    May 15 2025

    Dans cet épisode, je reçois Françoise Vergès, intellectuelle décoloniale, essayiste, militante et agitatrice culturelle. Depuis des décennies, elle interroge inlassablement les récits officiels, creuse les angles morts de l’histoire, déconstruit les dominations silencieuses. Un combat pour la justice et la dignité qui prend racine dans son enfance à La Réunion, terre de luttes et de répressions, où elle grandit entre un père militant communiste anticolonial, une mère féministe insoumise et des mémoires imprégnées par le bruit des alizés et le goût du piment vert.Née à Paris en 1952 mais façonnée par La Réunion, Françoise Vergès a appris très tôt à naviguer entre plusieurs mondes : celui des ouvriers agricoles, des lavandières et des dockers ; celui des intellectuels, des artistes et des révolutionnaires et celui de la répression coloniale.Elle raconte avec pudeur et acuité ces années d’enfance où l’hospitalité populaire faisait office de refuge contre un État répressif qui harcelait son père et traquait sa famille :"J’ai grandi avec le sentiment que je pouvais être dans tous les milieux, qu’aucun milieu ne m’était interdit." De La Réunion à Alger, de San Diego à Paris, Françoise Vergès a traversé les mondes et leurs luttes : féminismes décoloniaux, mouvements antiracistes, luttes écologiques. Elle parle de ce que signifie habiter un monde en ruine tout en refusant le désespoir, et de ce qui, malgré tout, donne encore envie de se lever le matin.Un épisode où il est question de violence systémique, d’État-nation moderne fondé sur l’oppression des minorités et de la puissance des récits invisibles qui résistent, malgré tout :"L’État-nation moderne se construit sur l’oppression de groupes : les femmes, les minorités, les enfants. C’est une construction coloniale qui persiste aujourd’hui, sous d’autres formes, mais avec les mêmes logiques." Avec une voix à la fois lucide et lumineuse, Françoise Vergès nous invite à regarder le monde autrement, à écouter ce qui n’est pas dit, à se souvenir pour réinventer.Ressources complémentaires📚 Le Ventre des femmes – Albin Michel, 2017📚 Un féminisme décolonial – La Fabrique, 2019📚 Une théorie féministe de la violence – La Fabrique, 2020📚 Programme de désordre absolu : décoloniser les musées – La Fabrique, 2023📚 Making the World Clean, Wasted Lives, Wasted Environment and Racial Capitalism – Goldsmiths Press, 2024

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    10 mins
  • #8 Françoise Vergès | L'Aspiration à la Liberté comme Universel
    May 14 2025

    Dans cet épisode, je reçois Françoise Vergès, intellectuelle décoloniale, essayiste, militante et agitatrice culturelle. Depuis des décennies, elle interroge inlassablement les récits officiels, creuse les angles morts de l’histoire, déconstruit les dominations silencieuses. Un combat pour la justice et la dignité qui prend racine dans son enfance à La Réunion, terre de luttes et de répressions, où elle grandit entre un père militant communiste anticolonial, une mère féministe insoumise et des mémoires imprégnées par le bruit des alizés et le goût du piment vert.Née à Paris en 1952 mais façonnée par La Réunion, Françoise Vergès a appris très tôt à naviguer entre plusieurs mondes : celui des ouvriers agricoles, des lavandières et des dockers ; celui des intellectuels, des artistes et des révolutionnaires et celui de la répression coloniale.Elle raconte avec pudeur et acuité ces années d’enfance où l’hospitalité populaire faisait office de refuge contre un État répressif qui harcelait son père et traquait sa famille :"J’ai grandi avec le sentiment que je pouvais être dans tous les milieux, qu’aucun milieu ne m’était interdit." De La Réunion à Alger, de San Diego à Paris, Françoise Vergès a traversé les mondes et leurs luttes : féminismes décoloniaux, mouvements antiracistes, luttes écologiques. Elle parle de ce que signifie habiter un monde en ruine tout en refusant le désespoir, et de ce qui, malgré tout, donne encore envie de se lever le matin.Un épisode où il est question de violence systémique, d’État-nation moderne fondé sur l’oppression des minorités et de la puissance des récits invisibles qui résistent, malgré tout :"L’État-nation moderne se construit sur l’oppression de groupes : les femmes, les minorités, les enfants. C’est une construction coloniale qui persiste aujourd’hui, sous d’autres formes, mais avec les mêmes logiques." Avec une voix à la fois lucide et lumineuse, Françoise Vergès nous invite à regarder le monde autrement, à écouter ce qui n’est pas dit, à se souvenir pour réinventer.🕰 Chapitrage (durée : 1h25min)00:00 – Introduction & présentation de Françoise Vergès03:55 – Souvenirs d’enfance : le bruit des alizés, le goût du piment, la cuisine des femmes12:00 – Laurence Derouin, une mère féministe insoumise20:20 – "Mon père a été très harcelé, comme d'autres" : répression, racisme et propagande coloniale30:40 – La censure coloniale : presse, arrestations, violences policières40:58 – "Des femmes en lutte dans tous les pays" : les luttes féministes globales et la précarisation des corps50:25 – Écrire contre l’oubli : comment documenter l’invisible ?55:15 – "L’État-nation moderne se construit sur l’oppression de groupes" : femmes, enfants, minorités01:09:35 – Repenser le musée au XXIe siècle01:20:05 – "Contrairement au discours médiatique dépressif, je reste admirative de celles et ceux qui n’arrêtent pas de se battre" : trouver la joie dans la résistanceRessources complémentaires📚 Le Ventre des femmes – Albin Michel, 2017📚 Un féminisme décolonial – La Fabrique, 2019📚 Une théorie féministe de la violence – La Fabrique, 2020📚 Programme de désordre absolu : décoloniser les musées – La Fabrique, 2023📚 Making the World Clean, Wasted Lives, Wasted Environment and Racial Capitalism – Goldsmiths Press, 2024

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    1 hr and 28 mins
  • (EXTRAIT) Mohamed Mbougar Sarr à propos de la violence
    May 3 2025

    Dans cet épisode, je reçois Mohamed Mbougar Sarr, écrivain sénégalais et lauréat du prix Goncourt 2021 pour La plus secrète mémoire des hommes. Ensemble, nous plongeons dans une conversation dense et précieuse sur la langue, l’hospitalité, la mémoire et l’identité — autant de fils invisibles qui tissent les récits les plus vrais.Né à Dakar (Sénégal) en 1990, élevé à Diourbel (Sénégal), Mbougar grandit au rythme des voix féminines de la maison — sa mère, sa grand-mère, ses tantes — qui, entre deux récits de vie, ouvrent à l’enfant l’imaginaire du conte et de la fiction. Très tôt, il est traversé par plusieurs langues : le sérère d’abord, langue maternelle et mémoire affective, puis le wolof, langue de la rue, le français de l’école, et l’arabe du Coran. Cette multiplicité n’est pas un obstacle, mais une matière vivante : chaque langue est porteuse d’un monde, d’une vision, d’un rythme.Auteur de Terre ceinte (2015), Silence du chœur (2017), De purs hommes (2018) et La plus secrète mémoire des hommes (2021), Mohamed Mbougar Sarr construit une œuvre à la fois enracinée et traversante — qui refuse les assignations identitaires sans jamais renier ses héritages.Nous parlons de l’hospitalité comme philosophie de vie, de l’accueil des humains comme des non-humains, des morts comme des vivants — mais aussi de la complexité d’écrire en français, langue d’héritage colonial, tout en y faisant résonner d’autres imaginaires.Mbougar ne se contente pas de passer d’une langue à l’autre : il fait dialoguer des univers symboliques et sensibles, il tisse des passerelles d’un imaginaire à un autre, pour faire apparaître ce qui ne se dit pas d’un seul tenant. Il ne cherche pas à lisser ses héritages, mais à les accueillir dans leur tension, leur richesse, leur fécondité.Avec pudeur et lucidité, il revient sur la polémique suscitée par De purs hommes, sur les résistances à nommer la violence intérieure des sociétés, et sur le pari de rester fidèle à sa propre exigence littéraire, même quand elle dérange.Un épisode manifeste, sur ce que cela signifie écrire entre les mondes sans se trahir, et sur la puissance douce de ceux qui choisissent l’ouverture sans renier leurs racines.

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    11 mins
  • #7 Mohamed Mbougar Sarr | Explorer les Ombres sans relâche
    May 2 2025

    Dans cet épisode, je reçois Mohamed Mbougar Sarr, écrivain sénégalais et lauréat du prix Goncourt 2021 pour La plus secrète mémoire des hommes. Ensemble, nous plongeons dans une conversation dense et précieuse sur la langue, l’hospitalité, la mémoire et l’identité — autant de fils invisibles qui tissent les récits les plus vrais.Né à Dakar (Sénégal) en 1990, élevé à Diourbel (Sénégal), Mbougar grandit au rythme des voix féminines de la maison — sa mère, sa grand-mère, ses tantes — qui, entre deux récits de vie, ouvrent à l’enfant l’imaginaire du conte et de la fiction. Très tôt, il est traversé par plusieurs langues : le sérère d’abord, langue maternelle et mémoire affective, puis le wolof, langue de la rue, le français de l’école, et l’arabe du Coran. Cette multiplicité n’est pas un obstacle, mais une matière vivante : chaque langue est porteuse d’un monde, d’une vision, d’un rythme.Auteur de Terre ceinte (2015), Silence du chœur (2017), De purs hommes (2018) et La plus secrète mémoire des hommes (2021), Mohamed Mbougar Sarr construit une œuvre à la fois enracinée et traversante — qui refuse les assignations identitaires sans jamais renier ses héritages.Nous parlons de l’hospitalité comme philosophie de vie, de l’accueil des humains comme des non-humains, des morts comme des vivants — mais aussi de la complexité d’écrire en français, langue d’héritage colonial, tout en y faisant résonner d’autres imaginaires.Mbougar ne se contente pas de passer d’une langue à l’autre : il fait dialoguer des univers symboliques et sensibles, il tisse des passerelles d’un imaginaire à un autre, pour faire apparaître ce qui ne se dit pas d’un seul tenant. Il ne cherche pas à lisser ses héritages, mais à les accueillir dans leur tension, leur richesse, leur fécondité.Avec pudeur et lucidité, il revient sur la polémique suscitée par De purs hommes, sur les résistances à nommer la violence intérieure des sociétés, et sur le pari de rester fidèle à sa propre exigence littéraire, même quand elle dérange.Un épisode manifeste, sur ce que cela signifie écrire entre les mondes sans se trahir, et sur la puissance douce de ceux qui choisissent l’ouverture sans renier leurs racines.00:00 – Introduction & présentation de Mbougar03:48 – Écrivain, romancier, ou autre chose ?09:10 – Les bruits et odeurs de l’enfance à Diourbel17:05 – Langues premières : sérère, wolof, français, arabe20:50 – L’hospitalité au Sénégal : accueillir l’étranger comme pari humain25:40 – Une hospitalité étendue aux non-humains, visibles et invisibles28:57 – Les animaux de la maison, et la mort d’un mouton comme premier deuil36:10 – Traduire un imaginaire plus qu’une langue : entre fidélité et recréation41:50 – La langue du rêve et la multiplicité intérieure44:10 – Vers une écriture multilingue : intrusion du sérère et du wolof dans ses romans49:50 – Hybridité et enracinement : être soi dans la relation, pas dans la tension54:40 – L’Aventure ambiguë et l’initiation à l’identité plurielle59:40 – Être enraciné pour mieux s’ouvrir : une racine mobile01:07:30 – Polémique autour de De purs hommes : société, violence et responsabilité01:14:30 – Fraternité dans l’amour et dans la violence : la négativité comme enjeu littéraire et politique

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    1 hr and 45 mins
  • (EXTRAIT) Les débuts de Tayeb Chouiref dans l'art de la traduction
    Apr 23 2025

    Dans cet épisode, je reçois Tayeb Chouiref, islamologue, traducteur et cofondateur des éditions Tasnim, pour une conversation rare et précieuse sur ce que signifie transmettre un monde plutôt qu’un simple message.Né à Lille en 1972 dans une grande fratrie, Tayeb Chouiref grandit dans une maison traversée par les chants traditionnels, les plats du dimanche et la mémoire des "absents". Très tôt, il est touché par des textes qui bouleversent ses certitudes et ouvrent son regard sur l’universalité du sacré.Docteur en islamologie, spécialiste du soufisme et des sciences du hadith, il traduit, écrit, publie, édite – mais toujours avec une intention claire : créer un espace d’hospitalité pour les textes spirituels, afin qu’ils puissent résonner dans d’autres langues, d’autres cultures, d’autres cœurs.Ensemble, nous parlons de l’égo comme enfant intérieur, de la lenteur nécessaire à toute traduction la plus fidèle possible, du rôle des librairies comme lieux d’initiation, et de la langue coranique comme un appel au voyage.Une plongée subtile dans l’art de traduire, non comme une technique, mais comme une éthique, une écoute, un accueil.🔗 Liens utiles📚 Éditions Tasnim 🌐 Site personnel de Tayeb Chouiref

    📘 Quelques ouvrages de Tayeb Chouiref :- Les enseignements spirituels du Prophète- Travail et spiritualité en islam- Revivifier la spiritualité de l’islam- Moïse et le cheminement spirituel- La médecine prophétique

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    7 mins
  • #6 Tayeb Chouiref | L'Hospitalité de la Traduction
    Apr 20 2025

    Dans cet épisode, je reçois Tayeb Chouiref, islamologue, traducteur et cofondateur des éditions Tasnim, pour une conversation rare et précieuse sur ce que signifie transmettre un monde plutôt qu’un simple message.Né à Lille en 1972 dans une grande fratrie, Tayeb Chouiref grandit dans une maison traversée par les chants traditionnels, les plats du dimanche et la mémoire des "absents". Très tôt, il est touché par des textes qui bouleversent ses certitudes et ouvrent son regard sur l’universalité du sacré.Docteur en islamologie, spécialiste du soufisme et des sciences du hadith, il traduit, écrit, publie, édite – mais toujours avec une intention claire : créer un espace d’hospitalité pour les textes spirituels, afin qu’ils puissent résonner dans d’autres langues, d’autres cultures, d’autres cœurs.Ensemble, nous parlons de l’égo comme enfant intérieur, de la lenteur nécessaire à toute traduction la plus fidèle possible, du rôle des librairies comme lieux d’initiation, et de la langue coranique comme un appel au voyage.Une plongée subtile dans l’art de traduire, non comme une technique, mais comme une éthique, une écoute, un accueil.🕰 Chapitrage (durée : 1:27:42)00:00 – Introduction & présentation04:20 – Enfance, bruits et odeurs, hospitalité vécue09:45 – Une maison ouverte aux humains, aux non-humains, et aux absents13:30 – L’enfance dans un imaginaire spirituel : récits, prières, intuitions18:40 – Les lectures qui bouleversent : Bible, soufisme, mystiques23:15 – L’apprentissage de l’arabe comme retour aux sources25:33 – L’unité transcendante des religions de Fritjof Schuon : un livre fondateur30:50 – Le rôle des librairies dans la quête de sens34:20 – La naissance des éditions Tasnim38:15 – L’hospitalité dans la tradition prophétique40:58 – L’ego selon Cheikh Al-‘Alawi : l’enfant intérieur et le cheminement spirituel45:00 – Traduire comme un geste d’hospitalité : entre fidélité et recréation52:35 – Maurice Gloton, prière et présence dans la traduction57:05 – Traduire le Coran ? Intuitions, hésitations, espérances1:02:30 – La langue du Coran et l’imaginaire du nomadisme1:06:55 – Explorer les textes : un travail d’archéologie spirituelle1:13:00 – Dans la fabrique de la traduction : gestes, lenteur, lumière1:21:20 – L’intention, la sincérité, et la nécessité du silence🔗 Liens utiles📚 Éditions Tasnim : https://www.tasnim.fr/🌐 Site personnel de Tayeb Chouiref : https://www.tayeb-chouiref.net📘 Quelques ouvrages de Tayeb Chouiref :- Les enseignements spirituels du Prophète- Travail et spiritualité en islam- Revivifier la spiritualité de l’islam- Moïse et le cheminement spirituel- La médecine prophétique

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    1 hr and 31 mins
  • #5 Yannick Do | Giving Back Spirit
    Apr 10 2025

    Dans cet épisode, je reçois Yannick Do, directeur artistique, DJ et cofondateur de la marque Dola, pour une conversation sur les héritages, ce que l'on choisit de transmettre à notre tour — et la manière dont la création peut devenir un acte de réciprocité.


    Au programme :

    • De l’audiovisuel à la direction artistique : parcours d’un créatif discret mais déterminé - souvent au bon moment, au bon endroit - entre Because Music, We Are Blind et les premières collaborations avec Nike

    • Créer de l’intérieur : son expérience chez Nike France, les dilemmes liés à la représentation, et les moyens subtils de faire passer des messages forts

    • Naissance de Dola : rencontre avec Fayçal Lazraq à Abidjan, envie commune de construire une marque sincère, enracinée, connectée à des récits pluriels

    • Le Giving Back comme boussole : faire émerger de nouveaux talents, redonner ce qu’on a reçu, créer des ponts entre scènes, territoires et générations

    • La fête comme espace politique : retour sur les soirées ‘97% Africa’ et sur le rôle des DJs dans la circulation des identités diasporiques

    • Créer sans bruit : penser une marque comme un geste profond plutôt qu’un produit, et cultiver l’intention plutôt que la démonstration


    Un échange tout en nuance sur l’humilité, la transmission, et la responsabilité de celles et ceux qui ont eu la chance d’entrer dans le game — et choisissent de tenir la porte ouverte derrière eux.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    2 hrs and 12 mins
  • (EXTRAIT) Yannick Do sur la transmission de l'héritage
    Apr 10 2025

    Dans cet épisode, je reçois Yannick Do, directeur artistique, DJ et cofondateur de la marque Dola, pour une conversation sur les héritages, ce que l'on choisit de transmettre à notre tour — et la manière dont la création peut devenir un acte de réciprocité.


    Au programme :


    • De l’audiovisuel à la direction artistique : parcours d’un créatif discret mais déterminé - souvent au bon moment, au bon endroit - entre Because Music, We Are Blind et les premières collaborations avec Nike

    • Créer de l’intérieur : son expérience chez Nike France, les dilemmes liés à la représentation, et les moyens subtils de faire passer des messages forts

    • Naissance de Dola : rencontre avec Fayçal Lazraq à Abidjan, envie commune de construire une marque sincère, enracinée, connectée à des récits pluriels

    • Le Giving Back comme boussole : faire émerger de nouveaux talents, redonner ce qu’on a reçu, créer des ponts entre scènes, territoires et générations

    • La fête comme espace politique : retour sur les soirées ‘97% Africa’ et sur le rôle des DJs dans la circulation des identités diasporiques

    • Créer sans bruit : penser une marque comme un geste profond plutôt qu’un produit, et cultiver l’intention plutôt que la démonstration


    Un échange tout en nuance sur l’humilité, la transmission, et la responsabilité de celles et ceux qui ont eu la chance d’entrer dans le game — et choisissent de tenir la porte ouverte derrière eux.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    10 mins