« Je suis pas ta mère. »
Si vous avez déjà prononcé cette phrase, mesdames, bienvenue.
Messieurs, si vous l’avez déjà entendue… sortez vos carnets, l’heure est venue de prendre des notes.

Dans ce nouvel épisode de Génération Perdue, on prolonge la réflexion entamée sur la peur de l’engagement avec un sujet tout aussi brûlant : les hommes-enfants. Immaturité émotionnelle, fuite des responsabilités, dépendance affective… Mais attention, on ne s’arrête pas là. Car derrière chaque Peter Pan, il y a souvent une Wendy — et cette tendance à materner nos partenaires, mesdemoiselles, ne les aide pas vraiment à grandir.

Installez-vous confortablement. C’est le moment de se poser les bonnes questions — sur eux, sur nous, et sur les schémas qu’on entretient (parfois malgré nous).

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Dans ce deuxième épisode de Génération perdue, on s’attaque à un sujet qui fait disparaitre plus vite qu'Houdini : la peur de l’engagement.

Pourquoi est-ce qu’aimer devient flippant ? Est-ce qu’on préfère vraiment être libres ou juste moins blessés ? Est-ce qu’on fuit les autres… ou soi-même ? Entre les modèles familiaux compliqués, les traumas d’enfance, le FOMO, et l’envie de ne surtout pas "s’effacer pour l’autre", je t’emmène dans une discussion sans filtre sur ce que ça veut dire, aujourd’hui, avoir peur de s’attacher.

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Si vous connaissez les répliques cultes d'Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre sur le bout des doigts, vous n'avez pas pu passer à côté de la mythique tirade d'Otis qui commence par : « Vous savez, je ne pense pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises situations... » Aujourd'hui, nous nous interrogeons sur ce qu'est une « bonne situation » pour la génération des années 90.

Ici, nous sommes peut-être perdus, mais nous nous posons les bonnes questions !

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