À l’IUT, j’avais l’impression d’être enfin libre. Libre de m’habiller comme je voulais.
Mais la vérité… c’est que je jouais un rôle.

Les sorties, Monaco, tout poussait à performer une version de moi-même.

Je m’habillais pour appartenir. Pour faire croire. Pour donner l’illusion que j’étais cette fille-là.
👉 la fille qui ne répète jamais une tenue
👉 la fille qui tient le rythme
👉 la fille qui “a les moyens”

Et cet environnement-là… il ne dicte pas seulement ton style. Il dicte aussi ta consommation.
Ton image.
Et parfois… ton anxiété.

Dans cet épisode, je parle de ce moment où le vêtement n’est plus un espace d’expression, mais un costume.
Une preuve.
Un ticket d’entrée.

Et de ce qu’on apprend quand on réalise enfin la différence entre : s’exprimer, se prouver et appartenir.

« La liberté vestimentaire n’existe pas si tu dois acheter pour la maintenir. »

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Dans ce troisième épisode, on quitte l’enfance… et on arrive en Terminale, à Marseille.
Une nouvelle ville. Une nouvelle culture. Et surtout une nouvelle réalité : l’appartenance passe par le vêtement.

Le “bon sac”, la “bonne coiffure”, les “bonnes marques”, les codes du 8ème…
Ici, tout le monde se ressemble.
Et la différence se paie cash.

Alors je fais comme beaucoup à 17 ans : je me fonds dans le décor pour avoir la paix.

Dans cet épisode, je te parle de :
• la pression d’appartenance à l’adolescence
• pourquoi le groupe punit la différence
• comment le style devient un passeport social

Un chapitre clé de notre rapport au vêtement, qui commence souvent là : quand on apprend à disparaître pour être acceptée.

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À l’école, ce sont mes lunettes, mes dents, ma minceur, ma taille qu’on attaquait.
Tout ce que je ne pouvais pas modifier… alors je l’ai caché.

• Lunettes retirées.

• Sourire retenu.

• Vêtements oversize.

• Marcher en silence.
  

Je pensais que se faire oublier, c’était la paix. En réalité, c’était la naissance de la peur d’être vue.

Aujourd’hui je sais :
👉 on projette sur toi ce qu’on déteste en soi
👉 le groupe punit la différence pour garder sa cohésion
👉 le physique est la première attaque qu'on subit toutes !

✨ Dans l’épisode je te montre surtout comment on peut s’en sortir.

Comment transformer ces attaques en forces :
reprendre le pouvoir sur son corps, arrêter de se cacher,
et cesser de se regarder avec les yeux de ceux qui nous ont blessés.

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Dans cet épisode, je vous ramène à un moment fondateur. Un moment qui, comme beaucoup d’entre nous, a laissé une trace plus profonde qu’on ne le pense.

On est en CE2. C’est le jour de la photo de classe. Je porte un crop top coloré, joyeux, choisi comme choisissent les enfants : sans filtre, sans gêne, sans pensée derrière.

Et puis… les garçons se retournent. Ils rient. Ils pointent du doigt. « T’as des abdos ! »

Et quelque chose se brise à l’intérieur.

Mon ventre, qui ne posait aucun problème jusqu’ici, devient un sujet. Un motif de moquerie. Une zone à cacher.

Dans cet épisode, je vous raconte :

• Ce que j’ai ressenti dans ce tout premier moment de honte corporelle
• Les pensées d’enfant qui s’installent (“Je dois cacher”, “Mon corps peut être utilisé contre moi”)
• Le mécanisme social qui se jouait réellement : domination, honte
• Comment on s’en sort, des années plus tard, quand on comprend enfin ce qui s’est passé

Et surtout, je vous partage une vérité que j’aurais aimé connaître à 8 ans :

🎯 « La honte, ce n’est jamais l’enfant qui la porte. C’est toujours celui qui la donne. »

Cet épisode ouvre la voie d'une série personnelle de 8 épisodes. Parce que notre rapport aux vêtements, à notre corps et à notre confiance… Il commence là.
Dans ces petites scènes d’enfance auxquelles on ne repense jamais, mais qui changent tout.

Merci d’être là pour cet épisode.
Et si vous vous reconnaissez dans ce souvenir — même de loin — vous n’êtes pas seules. On avance ensemble.

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