LA NOMINATION INITIALEAu cœur d'une France en ébullition, Sébastien Lecornu émerge comme Premier ministre en septembre 2025, un choix qui semble dicté par les coulisses obscures de l'Élysée. Ancien ministre des Armées, proche d'Emmanuel Macron, il incarne cette élite déconnectée, gonflant son CV avec un diplôme qu'il n'a jamais obtenu – une plainte pour usurpation plane déjà. Les observateurs avertis y voient une marionnette placée pour perpétuer un système verrouillé, où les privilèges des anciens ministres sont enfin ébranlés, mais trop timidement. Fin du SNU, suppression de missions interministérielles : des mesures cosmétiques face à une gabegie étatique qui saigne le peuple. Pourtant, sans majorité réelle, son bail à Matignon s'annonce précaire, reflet d'une République en déliquescence où les vrais décideurs restent tapis dans l'ombre.LA DÉMISSION SURPRISELe 6 octobre, Lecornu jette l'éponge après à peine un mois, un record de brièveté qui frise l'absurde. Officiellement, c'est l'impasse budgétaire et les divisions parlementaires. Mais entre les lignes, on discerne les fissures d'un pouvoir vacillant : Macron accepte la démission tout en chargeant Lecornu de reformer un gouvernement fantôme. Les médias étrangers parlent de "chaos" et d'"agonie", tandis que les voix dissidentes murmurent d'une mise en scène orchestrée pour gagner du temps. Scandales en cascade – un conseiller impliqué dans une affaire de non-dénonciation de crimes sexuels – ajoutent à la puanteur. L'opposition gronde : dissolution ou cohabitation, clame Marine Tondelier, soulignant l'ingouvernabilité d'un pays livré à des intrigues élitistes.LES RUMEURS DE DESTITUTIONDans ce tourbillon, les appels à la destitution de Macron fusent, portés par LFI et Jean-Luc Mélenchon qui voit en Lecornu un symptôme d'un président "ivre de pouvoir". La motion déposée est jugée irrecevable par le bureau de l'Assemblée, un verrou institutionnel qui protège les intouchables. Pourtant, les rumeurs enflent : folie présidentielle, arrogance psychiatrique, selon certains. Des posts viraux évoquent un Emmanuel Macron "le plus embarrassant de l'histoire", appelant à une souveraineté populaire bafouée. Ces bruits de couloir révèlent les fractures profondes d'un système où les élites se protègent mutuellement, ignorant les cris du peuple pour une vraie rupture. La destitution, chimère ou nécessité ? Elle hante les débats, alimentée par une gauche unie dans sa colère.LA RENOMINATION CONTROVERSÉELe 10 octobre, coup de théâtre : Macron renomme Lecornu, un "repli macronien" selon les initiés. Olivier Faure menace d'une nouvelle censure, Manuel Bompard dénonce un "bras d'honneur" aux Français. Retailleau refuse d'entrer au gouvernement, LFI et RN promettent la chute. Cette renomination, après une semaine folle de négociations avortées, pue la manipulation. Lecornu, exclu de sa propre reconduction initialement, revient comme un boomerang. Les critiques acerbes pointent un président sourd, prolongeant une crise pour préserver son trône. Une ingouvernabilité assumée, où les compromis masquent des agendas cachés, laissant la France en suspens.LES MOQUERIES PUBLIQUESLes réseaux bruissent de sarcasmes : Lecornu en "bail précaire", un "fantôme" à Matignon, ou encore un concours de ridicule avec des ministres démissionnaires comme Rebsamen. Des voix moquent ce psychodrame, comparant Macron à un metteur en scène déjanté. "Trop de boulot dans un monde de merde", ironise-t-on, saluant une lucidité fugace. Les alternatifs soulignent l'absurdité : un gouvernement condamné d'avance, où les privilèges tombent comme des miettes. Ces railleries, élégantes dans leur cruauté, démasquent l'incompétence d'une caste qui rit jaune face à un peuple exaspéré.#Politique #Rougeyron #IdrissAberkane #Macron #Gouvernement #Economie