Le triathlon fait rêver… mais il impressionne aussi beaucoup.

Trois sports, des transitions, de la natation, du matériel, des formats parfois démesurés.

Pendant longtemps, je me suis dit que ce n’était pas pour moi.

Dans cet épisode, je te raconte comment je me suis lancé dans le triathlon, sans venir de ce milieu, sans savoir vraiment nager au départ, et sans plan parfait.

Juste avec une envie : me lancer dans un défi qui avait du sens.

Je parle :

• de mon parcours avant le triathlon (course à pied, vélo, Zwift),

• du déclic Ironman et de ce moment où tout s’est aligné,

• de la claque monumentale de la première séance de natation,

• de l’importance d’être accompagné pour progresser,

• des premières séances en eau libre et du matériel,

• de mon premier triathlon S, entre stress, erreurs et immense fierté,

• puis de mon premier triathlon M, marqué par la progression… malgré les obstacles,

• et de ce que le triathlon m’apporte aujourd’hui, bien au-delà des dossards.

Un épisode honnête et accessible, pour tous ceux qui hésitent encore à se lancer, et qui pensent que le triathlon n’est pas fait pour eux.

🎧 Personne ne naît triathlète. On le devient. Un entraînement après l’autre.

Bonne écoute, et bienvenue dans En quête d’endurance.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cet épisode, je parle d’un rêve de gosse : vivre une partie de l’univers des pros… quand on est simplement amateur.

Je raconte ce que ça fait de rouler sur les routes du Tour de France, de grimper des cols mythiques dans les Pyrénées (Tourmalet, Aspin, Hautacam, Luz-Ardiden…), puis de prendre le départ de l’Étape du Tour Femme jusqu’au col de la Madeleine : le village départ, la route fermée, le public, l’ambiance “Grand Tour”… et cette émotion brutale à l’arrivée, quand tu te dis : “je l’ai fait”.

Je parle aussi de l’autre facette du “mode pro” : la rigueur au quotidien. Préparer un Half Ironman, s’entraîner 15–20h par semaine, structurer ses séances avec un coach, utiliser les mêmes outils que les élites, optimiser sa nutrition… et profiter du meilleur des deux mondes : la discipline d’un pro, sans la pression du résultat.

Un épisode sur le vélo, l’endurance, les cols de légende, le triathlon… et cette magie simple : on peut vivre des émotions énormes, sans être professionnel.

🎧 Bonne écoute, et bienvenue dans En quête d’endurance.

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Dans cet épisode, je reviens sur un sujet qui touche beaucoup d’entre nous : le stress du travail et la charge mentale qui occupe la tête en continu.

Je raconte comment, pendant des années, je me suis laissé happer par le rythme du boulot — en grande distribution, en agence, puis en tant que freelance — au point d’oublier complètement mon bien-être.

Jusqu’au jour où j’ai découvert, presque par hasard, que l’endurance était le meilleur moyen de remettre de l’ordre dans ma tête.

Dans cet épisode, je vous parle :

• de mes journées sans pause et de cette pression permanente de “devoir en faire plus”,

• de la première fois où j’ai osé couper ma journée pour aller courir,

• de la différence entre les séances intenses, les longues sorties et ce qu’elles changent mentalement,

• de ce que m’apporte aujourd’hui le yoga en complément du sport d’endurance,

• de ce paradoxe incroyable : moins je travaille longtemps… mieux je travaille,

• et de pourquoi bouger notre corps est probablement l’un des meilleurs antidotes au stress professionnel.

Un épisode sincère, personnel, qui parle autant de sport que de santé mentale, de charge cognitive et de rééquilibrage de vie.

🎧 Bonne écoute, et bienvenue dans En quête d’endurance.

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