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Schlüpf in dein Korsett, versammle deine Schwestern und brich auf in die Welt von Jane Austens Klassiker der Herzen: Stolz und Vorurteil. In dieser einzigartigen Nacherzählung wird der Roman von einem hochkarätigen Ensemble zum Leben erweckt, untermalt von Originalmusik aus der Feder der Grammy-nominierten Komponistin Morgan Kibby. Elizabeth Bennet käme es nie in den Sinn, sich mit etwas zu begnügen, das nicht voll und ganz ihren Vorstellungen entspricht, sei es bei der Gestaltung ihres Lebens oder der Wahl ihres Ehemanns.

England, 1914. Die Welt ist von Konflikten gezeichnet. Der verletzte Captain Hastings wird ins Anwesen Styles Court eingeladen, um sich von seinen körperlichen und seelischen Wunden zu erholen. Styles ist ein prachtvolles Landhaus und Heimat seines Kindheitsfreundes. Für Hastings ein Ort der Ruhe … glaubt er. Doch an den heißen Sommertagen braut sich etwas Finsteres zusammen.

Aus dem Zeitalter der Uniformität. Aus dem Zeitalter der Einsamkeit und des Doppeldenk. Aus dem Zeitalter des Big Brothers. Von mir, Winston Smith. Grüße. Es ist das Jahr 1984 und das Leben hat sich massiv verändert. Luftstützpunkt Nummer Eins, vormals bekannt als Großbritannien, ist ein Ort, den Big Brother ständig überwacht und wo sich niemand verstecken kann. Außer vielleicht Winston Smith. Während er im Ministerium für Wahrheit daran arbeitet, die Geschichte umzuschreiben, träumt er insgeheim von der Freiheit.

Qui peut résister à l'odeur du barbecue durant une belle après-midi d'été, alors que les enfants chevauchent un crocodile gonflable dans une piscine elle-même gonflable ? Personne, et sûrement pas les écrivains, qui les premiers succombent à l'odeur délicieuse des mets cuits au charbon de bois. Tels des Jean-François Piège de la littérature, nous allons aujourd'hui, en tout bien tout honneur, sublimer votre tubercule stylistique !

"Alors que vous êtes pépère dans le métro à écouter de la musique, vous sentez une présence - quelque chose ou quelqu'un - vous épier. Vous n'osez pas vous retourner, car vous avez vu suffisamment de films qui collent les miquettes pour savoir que dès qu'on se retourne, on risque d'avoir très mal. Par chance, cette crise de paranoïa ne durera qu'un temps : le temps pour le musicien de métro de passer près de vous, et de vous offrir sa version, toute personnelle, du "Temps des fleurs".

"Qu'est-ce que je vais faire de tout cet oseille ?" disait le poète. Et la question mérite d'être posée, en effet. Elle le mérite tellement que nombre d'écrivains l'ont posée au fil des siècles. Car l'argent régit notre monde ! Il suffit de voir les parties de Monopoly : vous ne resterez pas longtemps en jeu sans quelques billets et quelques hôtels bien placés. Écoutez cet épisode d'Hernanani, lisez les romans mentionnés, voyez ce que les écrivains vous conseillent, prenez-en de la graine, ne devenez pas fou, et vous serez le roi respecté de la ville (sans passer par la case prison) !

ET NON ! Ce n'est pas Michel qui commence, mais Quentin avec son petit bouquin ! HAHA, vous voilà bien feintés ! Vous accusez le coup, vous bégayez, vous voyez un peu flou. La tête qui tourne, encore sous le choc, vous essayez de comprendre. Eh bien c'est simple : nous venons de manipuler cette émission ! Dans cet ultime épisode d'Hernanani, nous allons mettre en lumière quelques aspects de la fourberie littéraire, passer en revue quelques astuces de nos grands écrivains pour marabouter leur lectorat.

"J'ai dix ans", chantait Alain Souchon, alors au sommet de sa gloire. Gros mytho ! Même s'il faut bien avouer que nous rêvons tous d'un jour redevenir les enfants que nous avons été, pour faire des pâtés à la plage, se croire chevaliers en brandissant des bouts de bois, ou cuisiner des frites en plastique sur une dînette dernier cri. Heureusement, la littérature est cette machine formidable qui nous permet de remonter le temps ! Choisissez votre année, et en route pour le passé !

Coucou c'est nous qui redéboulons les amis ! Entre deux roulades, voici un tout nouveau numéro d'Hernanani ! Hernanani n'étant pas une hernananiche, nous ne craignons pas d'aborder dans cet épisode les grandes questions, ni même les thèmes "bateau". C'est pourquoi on vous propose un grand écart sur le roman d'apprentissage. Car le roman d'apprentissage, c'est bien plus compliqué que ce qu'on nous en dit au lycée. Big up le Bac de Français les amis ! En avant Milou !

Hernanani, c'est le nouveau rendez-vous qui fait bien plaisir sur la littérature ! À la croisée des siècles, des écrivains d'hier et d'aujourd'hui, des courants littéraires, et des petits clashes dans le respect, retrouvez Michel Pimpant et Quentin Leclerc pour une petite discussion au calme autour d'un sujet littéraire gourmand et croquant !

In the royal city of Camarria, a street urchin named Chessie lives by her wits, always attended by her two faithful friends, Red and Scar. What no one realizes is that the “friends” are really echoes, creatures that look exactly like their originals but who possess no volition of their own. Echoes normally are only born to high nobles, and Chessie doesn’t want anyone to start asking questions about her past. So she’s developed the ability to move between bodies so rapidly that she can maintain the illusion that she and Red and Scar are three separate people.

Lady Elyssa despises her echoes - the creatures who look just like her and copy her every move. But it’s only the echoes that mark her as a high noble, someone elite enough to marry the king’s youngest son, Jordan. She can’t get rid of the echoes, so instead she amuses herself by torturing them when no one is looking. But there’s something Elyssa doesn’t know: Her casual cruelty has brought one of the echoes to life. And this echo, Hope, is learning to think and speak and act on her own.

Brianna loves her new job as maid to Lady Marguerite. Like many high nobles, Marguerite is attended by echoes, silent creatures who look exactly like her and move in perfect synchronicity. News soon comes that Marguerite has been invited to the royal city as a potential bride for the crown prince. Brianna is delighted to accompany Marguerite to the city - and perhaps get a chance to continue her own flirtation with Nico, one of the king’s inquisitors. Then, disaster strikes on the road when they come under attack.

It’s rumoured that Dickens wanted to return to his classic novel Oliver Twist, to bring him back into a later book as an older character, but he never managed this before he died. However, if Oliver had returned, what would he have been like? Would the scars of his childhood affect the man he would become? And what of ‘Dodger’, sent to a land halfway around the world, his friend, mentor and master dead because of Oliver? Dodge & Twist is that story. The tale of two boys, 12 years later, returning into each other’s lives - for both good and bad.

To enjoy this immersive experience on binaural sound, we recommend you listen to this title through earphones. Looking for Notre Dame takes us into the mind of the young Victor Hugo as he begins his research before writing his "cathedral novel" Notre-Dame de Paris. The year is 1828. Victor Hugo is 26 years old. Notre-Dame was then a church in a dilapidated state. Its renovation by Viollet-le-Duc and Jean-Baptiste Lassus will only take place in 1843. Notre-Dame is dying and Hugo wants to resurrect it, bring it back to its past splendor.

Pour profiter au mieux de cette expérience immersive en son binaural, nous vous recommandons de l’écouter au casque. À la recherche de Notre-Dame nous plonge dans la tête du jeune Victor Hugo au moment où il commence ses recherches pour écrire son futur "roman cathédrale" Notre-Dame de Paris. Nous sommes en 1828. Notre-Dame est alors une église en état de délabrement. Elle ne sera rénovée par Viollet-le-Duc et Jean-Baptiste Lassus qu’à partir de 1843.

"Tchou-tchou !" faisait le petit train en sinuant parmi les vallées de notre beau pays. Aujourd'hui, propulsé par l'électricité, il ne fait plus de fumée, ni plus aucun bruit... Il fonce et nous n'apercevons plus qu'à peine son beau fuselage chromé. Où es-tu, petit train ? Les écrivains te pleurent dans leurs livres, les écrivains t'admirent, les écrivains t'aiment. Petit train, ta machine superbe nous ouvre les yeux sur le monde avec un maximum de confort. Petit train, tu es notre porte sur l'inconnu. Petit train, dis-nous qui tu es !

Terminator revenait du futur pour supprimer le fils de Sarah Connor et ainsi empêcher une guerre atomique. Noble combat. Les écrivains dont nous allons parler aujourd'hui font le travail inverse : ils se projettent dans le futur pour décrire les formes qu'il pourrait prendre : idéales, ou désastreuses. De là à dire que les écrivains sont les anti-Terminator, il n'y a qu'un pas. Pourtant, avouez qu'un Terminator vs. Jules Verne ferait un fameux blockbuster de cinéma. C'est une idée à creuser.

À l'attaque ! En avant mes braves soldats ! Je suis touché ! Continuez sans moi ! Je vais vous retarder ! Où sont mes entrailles ? Ainsi vont les conversations sur le champ de bataille. Cependant, si l'on prend le temps un instant de méditer dans cet environnement pittoresque et hostile, une question se pose : que nous disent les livres qui racontent des guerres fictives ? En quoi s'affranchir du réel et de l'Histoire permet de parler du réel et de l'Histoire ?

On Mahashivratri, when the moon casts a crimson glow and bats scurry across the night sky, the Vetaals appear from the shadows to take revenge against an ancient custom led by a sadistic demigod. The only one who stands between them and the future of humankind is Vikramaditya, the king of Avantika. But to battle against these dark forces, he needs an ally. An ally who whispers with blood between his teeth, the one who speaks in riddles—the original Veetal. Will Vikramaditya be able to convince the Veetal to help him defeat this unbeatable enemy?