Et pourquoi lire en été, c’est pas juste pour faire joli sur la serviette ?

C’est la question à laquelle je ne vais pas répondre, mais je vais nous aider à y réfléchir.

Dans ce premier épisode de la série estivale Les recos de l’été, je vous propose trois lectures à glisser entre deux baignades (ou deux orages, selon la région) — pas de traité de philosophie, pas de sociologie appliquée… Juste des histoires qui se lisent bien, qui marquent, et qui restent.

🎙️ Aujourd’hui, je vous parle de :

📖 Les enfants endormis d’Anthony Passeron : un récit intime et saisissant qui alterne entre chronique familiale et enquête sur les débuts de l’épidémie de VIH en France.

📚 The Nice House on the Lake de James Tynion IV et Alvaro Martinez Bueno : une BD apocalyptique et paranoïaque, huis clos glaçant sur l’amitié, la fin du monde… et les maisons avec vue.

📘 Cité de verre de Paul Auster : un polar existentialiste, un jeu de miroirs vertigineux, une plongée dans les rues de New York et dans la tête d’un écrivain qui se perd à force de se chercher.

💬 Je ne suis pas critique littéraire. Je vous parle juste de ce que ces livres m’ont fait. Et peut-être qu’ils feront un peu pareil chez vous.

👉 Prochain épisode : on range les bouquins et on allume l’écran. Je vous parle de séries, d’un spectacle, et peut-être de vous.

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Les sources :

Un transat, trois livres, et une envie de partager.

Et probablement un surdosage d’UV mentaux.

Référence unique : FB (2025), Sociologie des lectures de plage qui piquent un peu plus que prévu.

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