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Texte de l'audio:
Tu t’allonges pour continuer à te faire sucer. Décidément, cette Lætitia doit être une super suceuse.

Je me place de l’autre côté du lit pour pouvoir me positionner au-dessus de ton visage. Je t’embrasse. Ta bouche est délicieuse, comme toujours.

Rachid est derrière moi, reprend sa position initiale et recommence à me posséder.

Nous adorons nous embrasser dans cette position inversée de nos bouches quand je me fais prendre par un autre homme et que tu te fais sucer par une autre femme.

Tu me saisis par la nuque et le cuir chevelu et comprime un peu fort mon visage contre le tien pour que nos bouches ne fassent qu’une.

Lætitia est venue maintenant s’empaler sur ton dard pour te chevaucher. Je sens les résonances de son corps sur le tien. Inversement, tu dois sans doute ressentir chaque coup de bite que je suis en train de prendre de mon jeune amant.

Mais nos langues restent liées comme pour signifier qu’aucun autre homme ou femme ne peut venir dénouer notre union. Nous détachons nos bouches pour reprendre notre respiration et je te dis que je t’aime.

Tu me réponds avec un nouveau baiser fougueux.

Rachid a l’air d’aimer cette situation et prend son pied à m’enfiler pendant que t’embrasse.

- Vous êtes trop mimis ! dit Lætitia.

La tige durcie de mon cavalier ne débande pas. Je sens qu’il pourrait me prendre toute la soirée.

Puis il passe un doigt sur mon œillet.

Non. Je ne me sens pas encore prête pour être enculée.

Je propose un petit break dans les bras respectifs de nos chéris.

Lætitia en profite pour se lever et se propose de nous servir de nouvelles coupes de champagne.

Rachid est resté la queue à l’air et dressée. Ne sachant quoi faire, il se décide à rejoindre la maîtresse de maison, dans la cuisine.

Je viens me lover dans tes bras pour une pause tendresse bien méritée.

Il faut savoir faire des pauses pour mieux repartir...car c’est si bon de recommencer...encore et encore.

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Texte de l'audio:
Nous échangeons nos places avec la maîtresse de maison. Je viens déposer un baiser rapide sur les lèvres de Rachid et me positionne sur le canapé pour qu’il me prenne en levrette. Je lui tends une capote.

Je suis orientée 3/4 sur le canapé un genou sur le coussin et un pied à terre. Mes reins sont cambrés et ma chatte est offerte. Il n’a plus qu’à venir entre mes fesses.

Lætitia s’est mise à genoux et a commencé à sucer mon homme qui me lance une moue amoureuse. Elle est accroupie et je vois son cul qui s’appuie sur ses hauts talons pour se donner de la stabilité.

Je sens le gland de Rachid qui vient se positionner à l’entrée de mon intimité. D’une main, j’écarte mes fesses pour que son sexe bandé trouve plus facilement l’ouverture.

Je suis empoignée par les hanches.

Il me l’enfile...Mmmmh

Son bassin commence à se mouvoir en moi, d’abord lentement puis rapidement. C’est très bon, sa jeune queue fraîche qui me pilonne le con. Ça faisait un bon moment qu’il voulait me la mettre. Je l’avais vu dans ses yeux noirs, dès la rivière. Quand mon chéri me baisait, il ne m’a pas quitté du regard. Il peut maintenant défoncer celle qu’il convoitait – ta femme - et s’y donner à cœur joie dans son cul.

Mhhh…

Il me prend bien.

Il fait entrer et sortir toute sa queue à chaque va et vient au fond de ma chatte. Je passe une main entre mes cuisses pour caresser ses testicules.

Mon mari lui se fait toujours pomper la queue.

C’est qu’elle doit sucer divinement la belle Lætitia, sinon tu l’aurais déjà relevée pour la prendre !

Au bout de quelques minutes, tu l’aides à se relever. Pomper une queue accroupie plusieurs minutes d’affilée nécessite une souplesse physique qui n’est pas donnée à tout le monde.

- Allons dans la chambre, nous y serons mieux ! Dit-elle.

Rachid se retire et je prends sa main pour suivre Lætitia et mon chéri qui nous ont précédé. Le lit est imposant. Nous serons toute à notre aise…

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Texte de l'audio:
Laetitia possède une superbe maison perchée au-dessus des gorges. Trente ans qu’elle vit ici, dans ce havre de paix hérité de son mari défunt de trente ans son âiné, qui lui a laissé bien plus qu’un toit : une indépendance absolue. Et elle savoure désormais pleinement sa liberté.

Elle est belle, Laetitia, une femme qui a su dompter le temps, qui a gardé l’allure et l’élégance d’une femme qui s’assume. Son capital physique est presque intact. Ce soir, elle nous accueille avec ce regard pétillant de malice et sort d'emblée une bouteille de champagne et remplit nos flûtes.

Nous trinquons à notre rencontre et très vite, la conversation dérive. Rahiq, son jeune protégé, est un réfugié syrien qu’elle héberge depuis plusieurs mois. Il parle à peine français, mais son regard parle pour lui. Il est de taille moyenne, mais bien bâti, d’une beauté brute qui contraste avec la douceur de son sourire. Il s’occupe de la maison, en échange du gîte et du couvert.

— … et des faveurs de la propriétaire ? dis-je en riant.

Mon ton espiègle te fait sourire et, comme toujours, attise ton désir. Tu te penches pour m’embrasser, ta main se glissant déjà sur ma cuisse, effleurant ma peau avec une possessivité qui me fait frissonner. Je réponds à ton baiser avec gourmandise, nous enflammant sans retenue sous les regards amusés de nos hôtes. On se roule une pelle d’anthologie devant nos hôtes, histoire de mettre une petite ambiance.

— Quel charmant couple vous faites, dit Laetitia avec un sourire complice.

Tu es déjà dur sous mes doigts, et ça m’excite encore plus. D’un regard, je te demande l’autorisation, puis je m’agenouille lentement, effleurant ton short du bout des lèvres avant d’en libérer ta virilité tendue. Ta queue sortie, je viens la prendre en bouche pour commencer à te sucer.

— Vous permettez ? Dis-je à nos hôtes avec un sourire malicieux. Je plonge ma bouche sur toi, lentement d’abord, te savourant comme je l’aime, sentant tes muscles se tendre sous l’intensité de mon attention.

— Faites comme chez vous, rit Laetitia en nous observant, une lueur d’envie au fond des yeux.

Je relève la tête, mon regard capturant le sien un instant, puis je remarque que la main de Laetitia a déjà trouvé le sexe de Rahiq, qu’elle caresse avec expertise. Lui nous regarde, fascinée par la scène. Rahiq s'est levé et Laetitia a commencé à le sucer. Il me regarde te sucer tout en se faisant pomper. Je me doute qu’il aura envie de goûter à ma bouche plus tard...

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