En pleine lecture de Paracha Mikets et pendant Hanouka, le Rav Sojcher montre que la vraie victoire de Hanouka n’est pas militaire mais spirituelle : préserver l’âme du judaïsme face à une modernité séduisante mais vide de divin. À travers l’opposition entre les Grecs et Matityahou, il éclaire un combat qui continue aujourd’hui : vivre sa judéité dans un monde qui veut l’expliquer, la vider ou l’oublier.

Le Rav Sojcher propose une lecture inédite du conflit entre Yossef et ses frères : un affrontement entre deux visions de la mission juive. Faut-il se retirer du monde ou s’y engager pleinement pour le sanctifier ? À la lumière de la Hassidout et des textes classiques, ce cours interroge notre rapport au travail, à la matérialité et à la place du divin dans notre quotidien.

Pourquoi Yaacov, pourtant fort de promesses divines, ressent-il une peur si intense avant de retrouver son frère Ésaü ? Le Rav Sojcher explore la profondeur de cette peur : non celle du danger, mais celle d’une faille intérieure. Un éclairage puissant sur la tension entre notre façade extérieure et notre intériorité, et sur le travail spirituel nécessaire pour aligner les deux.

Le Rav Sojcher explore cette semaine le contraste fondamental entre Rachel et Léa : la perfection contre le perfectionnement. À travers leurs figures, le cours met en lumière l’enseignement profond du Tanya : la grandeur d’un Juif ne réside pas dans la perfection sans faille, mais dans la capacité à lutter, échouer, se relever et progresser. Un regard inspirant sur nos échecs, nos efforts et notre rapport à l’idéal.

Dans cette paracha bouleversante, le Rav Sojcher s’arrête sur la figure d’Ésaü et sur l’amour incompréhensible qu’Isaac lui porte malgré ses fautes. À travers les enseignements du Tanya, des Midrashim et du vécu contemporain, ce cours interroge notre capacité à aimer l’autre non pas pour ce qu’il fait, mais pour ce qu’il est. Un éclairage précieux sur l’éducation, la responsabilité parentale, et notre mission de rallumer la flamme chez tout Juif, aussi éloigné soit-il.

À travers l’achat du Caveau des Patriarches, Abraham ne négocie pas une simple tombe, mais une vision : celle d’un judaïsme qui sanctifie la matière et honore le corps. Le Rav Sojcher éclaire ici la profondeur de cet acte, et révèle comment notre rapport à la mort, au corps, et à la matière détermine notre spiritualité vivante.

Dans cette paracha marquée par l’hospitalité d’Avraham, le Rav Sojcher explore en profondeur ce qu’est le véritable ‘Hessed (bonté). Ce n’est pas simplement donner, mais honorer, accompagner, élever. À travers des enseignements puissants du Zohar, du Rambam, et des sages, ce cours nous invite à transformer nos gestes quotidiens en actes d’élévation, et à faire du "raccompagnement" un moment central du lien à l’autre.

Dans cette paracha fondatrice, le Rav Sojcher explore comment le changement de nom — d’Avram à Avraham, de Sarai à Sarah — traduit une transformation spirituelle profonde. À travers la kabbale des lettres, la halakha et le vécu contemporain, il montre comment un simple prénom peut devenir un canal de bénédictions, de guérison, et même reconfigurer le "mazal". Un cours dense et lumineux, au croisement de la mystique, de l’identité, et du libre arbitre.