Depuis son enfance, ELIAKIM baigne dans la culture congolaise. L'artiste peintre-sculpteur y a puisé son inspiration pour l'exposition "BISO BANA YA POTO", expo racontant une expérience personnelle, évoquant la double-culture, l'immigration et le voyage, et dressant un constat socio-géo-politique fort.

Invité "Chez IGGY", ELIAKIM parle de son art, influencé par ses rapports à la France et à son pays d'origine.

@eliakim.eliakim.eliakim

@chez_iggy

Chez IGGY reçoit André Magnin, fondateur de la galerie d'art MAGNIN-A.

André Magnin a fait de la conservation des arts et des cultures du monde son combat.

Le galeriste a parcouru le globe pour dénicher et exposer des artistes. Il a aussi été un des acteurs et témoins de la naissance de la hype autour de la création africaine (musique, art contemporain, mode) en Occident.

De cette ferveur, sont nés des soupçons de néocolonialisme et un sentiment de méfiance.

André nous parle sans détour, sur fond de manifestation féministe 🙌🏻🪧🙌🏻

📸 André Magnin par Malick Sidibé.

@iggynko

"Quand je parle de Malick [Sidibé], j'ai le sentiment qu'il est vivant", me confie Zakaria Sidibé au sujet de son père.

Malick Sidibé était justement à l'honneur de l'exposition "TATI 50x50 : Studio Photo Seydou Keita & Malick Sidibé", commémorant la collaboration des deux photographes maliens avec TATI.

J'y ai rencontré son fils, Zakaria, qui a aussi été son assistant. Il m'a raconté en détails la vie et le parcours de son père, légende de la photographie contemporaine africaine et mondiale.

Une discussion passionnante !

Merci @unionjeunesseinternationale 🙏🏿