Anna Margueritat : “Les victimes sont trop souvent présumées menteuses.”
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Son kit essentiel à avoir en manif, son suivi du procès dit “des viols de Mazan”, la victimisation secondaire (retraumatiser une victime au cours d'une procédure judiciaire), son féminisme antifasciste et intersectionnel, lutter sur les réseaux sociaux, son apparition dans le documentaire “À l’avant Post” (Judicaëlle Perrot, On.Suzane), le rôle du photojournalisme face aux violences policières et le fémonationalisme (l'instrumentalisation du féminisme à des fins xénophobes)…
Aujourd’hui on reçoit Anna Margueritat, photojournaliste et rédactrice indépendante, elle vient de publier un livre, “Pour que la honte change de camp”, aux éditions @La Meute. Un récit qui retrace quelques étapes du procès dit des “viols de Mazan”, mais surtout la manière dont celui-ci a fait écho à sa réflexion de militante féministe, de journaliste et de femme. Elle y parle du traitement des victimes par la justice, dévoile les impacts de ce procès sur les journalistes, notamment les femmes qui l’ont suivi, décrit son questionnement sur le fait de prendre en photo Gisèle Pélicot à la sortie du tribunal et évoque également le silence autour du sujet de l’inceste dans cette affaire.
Avertissement / Trigger Warning : cet épisode inclut des discussions sur les violences sexistes et sexuelles.
10 minutes pour sauver le monde, c'est le podcast de So good qui ne dure pas 10 minutes et qui, à défaut de sauver le monde, sauvera peut-être votre journée.
Musique citée dans l’épisode : “Les draps” de Solann