Aujourd’hui, c’est de musique dont nous parlons avec ce deuxième épisode de Déviantes, en compagnie de Nour, pianiste de formation et par conviction. Nour perçoit la musique comme un véritable moteur de son émancipation. Le piano lui a permis de neutraliser le langage pour donner naissance à une émotion universalisable et partageable, plus organique et plus sensible qui motive son choix de carrière. Nous abordons aussi la nécessité actuelle de déconstruire la position qui peut-être fantasmée de l’artiste, les violences inhérentes au secteur ultra-compétitif de la musique classique. Quelles réponses aujourd’hui et aspirations peut on envisager pour ce secteur ?

Nour partage également les oeuvres et artistes qui ont pu l'influencer :

·Les compositeu·rices et pianistes allemandes Fanny Mendelssohn et Clara Schumann ou le hongrois Béla Bartók.

·Le deuxième mouvement du quatuor à cordes « La jeune fille et la mort » de Franz Schubert, le deuxième mouvement de la 7e symphonie de Beethoven ou encore « Ya Ana Ya Ana » de la chanteuse Fayrouz qui s’inspire de la 40ᵉ Symphonie de Mozart.

Du côté de la littérature : Mémoires d’une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir.

Dans une deuxième partie, Félicie parle de sororité avec le film Entre les vagues d’Anaïs Volpé

Merci à Nour d'avoir accepté notre invitation et à Julia, Hortense, Clémence, Félicie et Maïalen pour leur travail.

Nous remercions la Cité Audacieuse pour leur accueil et la mise à disposition du studio La Poudre.

Nous remercions également Célia Culi pour le générique musical de notre podcast.

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A bientôt !

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